Rêve d’une fée
Il était une fois une époque ou les fées existaient. Cependant, elle a disparut depuis fort longtemps. Mais je m’en souviens, comme si c’était hier. Je devais avoir une quinzaine d’années quand tout a commencé.
Cette époque reste gravé dans ma mémoire depuis au moins cent ans ! On venait de découvrir des textes parlant des montures des Valkyries : de magnifiques loups ailés de robe colorés. Il y avait aussi une renaissance de la féerie. On entendait de sublime voix dans les champs et les forets et, si on cherchait bien, on pouvait apercevoir la brillance des ailles des fées par-ci, par-la.
Moi, jeune collégienne qui aimait (et aime encore) l’équitation, prenait des cours dans un centre équestre. Douée pour le dressage, on me proposa des cours particuliers avec un cheval fougueux du nom de Sidanar. Il n’était pas aussi fougueux que ça, car une foi sur son dos, Sidan (c’est comme ça que je l’appelais) se montrer la meilleure monture en dressage du club.
Je partis en concours avec lui. Sidan aima cette nouvelle vie. Puis u jour, alors que je venais de terminer première au concours national, le directeur d’une grand école d’équitation me fit une proposition : des cours gratuit a Saumur en échange je devait rapporter des médailles et me qualifier pour les Jeux-Olympiques. Il n’y avait que deux choix possible à la question : OUI !!!! ou non… et ce fut un Immense OUI !!!! qui sortis de ma bouche mais aussi de la bouche de mes parents et de mes professeurs d’équitation.
Arriver a Saumur, tout débute. Il y a une grand cour a l’entrée avec d’immense plateaux d’herbe bien fraîche où des chevaux broutent. Sur la droite, il y a les bâtiments pour les cavaliers : chambres, douche, toilettes, réfectoire, salle de réunion, salle de cours, etc….Sur la gauche on y trouve les box qui sont grand et bien entretenus. Sur la porte de chaque box, on y voit une plaque en bois gravé du nom du cheval qui occupe le box. Chaque cheval a son matériel et la sellerie est aussi grande que la maison ou j’habitait. Vous vous Imaginez ? Une sellerie qui fait 80 mètres carré ?? Et ben c’est la sellerie de Saumur. Dans les écuries on y trouve de toutes les races : Frisons, Lipizzan, Portugais, Pur Race Espagnol, et plein d’autre race de dressage mais on trouve aussi une grand quantité de Selle Français car a Saumur l’obstacle est la principale discipline. On me présente Canarie, une jument Lipizzane blanche.
Cela faisait un mois que je m’entraînais avec elle, quand un jour je découvris un magnifique étalon qui ne se laissait pas approcher.
(Au fait ! J’ai oublier de préciser : je descends directement des Valkyries et des Amazones. Comment ? Je ne sais pas. Je sais juste que je suis leur descendante directe et que j’ia un don : celui de parler d’Esprit à Esprit)
Ce magnifique étalon avait été appelé Condor. Un nom qui lui allait bien. Je passais mes journées entières a la regarder, à essayer de le comprendre et à essayer de lui parler. Un jour, que je lui apporté, il aborda la conversation. Condor me dit « Je ne suis pas un cheval comme les autres. Je m’appelle Magistyc. Mon ancien propriétaire m’a tellement battu que la Société Protectrice des Animaux (la SPA) est venu me cherche. Depuis, je ne fait plus confiance en personne ». Il continua a me raconter son histoire, et, tout en me parlant, il me montrait qu’il avait confiance en moi.
Le moment venu arriva, sa faisait trois semaines que je l’observer et que Magistyc me contrer qu’il avait de plus en plus confiance en moi. Je m’approcha de lui a petit pas, tout en lui parlant (fondamentale !). Je me hissa sur son dos. Il n’eu aucune réaction. A ce moment précis ma vie fut chamboulée. Je compris que ce cheval était plus qu’un cheval de dressage car c’était le descendant directe de la créature magique qui était la monture de mes ancêtres.
On s’entraîna tout deux pour une seule chose : prouver que l’on était unique et exceptionnelle. Grâce a lui, et au travaille que l’on avait fournit, Magistyc et moi, avions réussit a ce qualifier pour les Jeux-Olympiques !
Cela fait un bon siècle que plus personne ne croit aux fées, sauf une seule personne : moi, car j’en suis une. Magistyc m’accompagne toujours mais maintenant, ce n’est plus en concours, mais c’est sur les routes. Je passe de village en village, de ville en ville, de pays en pays pour raconter mon Histoire. L’Histoire d’une jeune fille qui découvrit un cheval et qui devint une championne de dressage que tout le monde a oublié. Même les livres d’histoire l’ont oubliés.
Si vous, Un jour, vous entendez cette histoire, alors dites vous que les fées ne sont pas très loin. Et si vous croyez en cette histoire alors c’est que vous croyez aux Fées.
Rêve d’un soir de pleine Lune au pays des fées. Rêvé par une fée qui ne cesse d’exister.